Les noms, autour de nous, racontent
Ces noms sont des symboles, des images, des parties d’histoire données en partage à tous.
Pour en savoir plus sur le passé, lire « Histoire » dans « Notre Village » sur ce site.
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Peintre sur faïence né à la fin du XIXe siècle et habitant de Fresnes. Les peintres sur faïence comme sur la porcelaine sont de véritables artisans d’art ; des peintres dont la signature pouvait être reconnue. Il a signé sur le village, entre autres, de beaux fusains.
Ancienne voie empruntée par les diligences qui rejoignaient Meaux.
(à côté de la salle des fêtes)
Ce pigeonnier qui datait du château du XVIIè siècle fut démoli en 1965 car son état de délabrement le rendait dangereux.
D’architecture originale, octogonal, il se dressait approximativement à l’angle du parking de la salle des fêtes, à côté du terrain de tennis. Proche de l’église, il avait des ornements de briques rouges identiques à ceux de l’église.
Du nom d'un ancien maire du village (1919-1952). Anciennement dénommée « Grand'rue » car elle était la rue principale. Elle était pavée avec d'énormes pavés.
En référence au parc (125 ha) du château (voir « Histoire »). Il subsiste un mur en bordure de champ. Est-ce une partie de mur ou un vestige de la porte monumentale de l’entrée ? Une colonne est visible au musée de Lagny.
Henri François d'Aguesseau (1668-1751), seigneur de Fresnes-sur-Marne – illustre magistrat français. Son œuvre de juriste tend à substituer le droit écrit à la coutume.
Elle conduisait aux fermes ; le village compta jusqu’à 10 fermes d’importances différentes et majoritairement imposantes aux noms tels « Les Tillets », « Le Cavillon », « Le Bois de Boulogne ».
Autrefois dénommée « Allée des Tilleuls ». Elle menait au château.
Avant les constructions, les prés et la végétation étaient dans le village.
1873 - 1932
Une briqueterie y était implantée et fabriquait des tuyaux de drainage, canaux, tuiles, poteries de bâtiments… Ces briques et produits étaient acheminés vers Paris en empruntant le canal.
Construite en 1608, l'église est dédiée à Saint Sulpice. La première pierre fut posée et bénite par l'évêque de Meaux, Monseigneur De Vieuxpont.
Cette croix était au bout du village. La première procession a eu lieu le dimanche 19 mai 1776 avec la permission de l'Évêque de Meaux et a été bénite par le prêtre de Fresnes François Joseph Goval.
Du nom du lavoir construit lors de l'adduction d'eau en 1950. À cette époque, les lave-linges n'étaient pas répandus. Les femmes, une fois le linge lavé à la maison, allaient souvent le rincer – agenouillées - dans l’Ourcq. Grand progrès, ce lavoir permettait aux femmes de laver et rincer debout.
Chemin perpendiculaire à la route de Précy, conduisant à la Marne. Gord est un mode de pêche fluviale : une double rangée de perches sont plantées dans le fond de la rivière, formant un angle, au sommet duquel est un filet où viennent se prendre les poissons.
Face à l’école Gabin Chambost et au centre de loisirs, cette place fait référence au changement de siècle - du XXe au XXIe siècle - et à l'Âge d'Or attendu.
Au XVIIIe siècle, un moulin à eau à deux roues était construit en briques sur une dérivation de la Beuvronne sur laquelle les barques pouvaient circuler. L’activité consistait à moudre les grains des récoltes et des fermes alentours. Les nouveaux propriétaires de 1925 à 1950 le transformèrent en charcuterie. Puis, la société Fogeco s’y installa en fabriquant des produits d’entretien. En 1985, il faut démoli pour faire place à une petite zone pavillonnaire.
Tire sa référence des arbres du même nom dont la symbolique est de bon augure.
En effet, pour les paysans, s’il donne beaucoup de noix, l’hiver sera rude, et la récolte de blé suivante sera bonne. La noix fournit de l’huile, de la teinture par son brou. Son bois est très utilisé en ébénisterie.
Ce quartier regroupait des jardins en liaison avec plusieurs maisons de la rue Ernest Pelletier.
Du nom du canal qu'elle longe. En 1935, elle était alors le « Chemin de Grande Communication ».